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L’accumulation des frustrations et « l’humiliation » causée par l’image renvoyée au monde d’un président -Abdelaziz Bouteflika- très affaibli expliquent l’ampleur de la contestation en Algérie, face à laquelle le pouvoir va vite devoir faire des choix, à l’approche du scrutin du 18 avril. Le pouvoir avait sans doute conscience de l’impopularité